Ce sont Inter environnement Bruxelles et l’Arau qui le disent : la réforme des règles d’aménagement du territoire a pour but de réduire la participation des habitants de la capitale. Et aussi la protection de l’environnement. Il suffit, pour le ministre bruxellois compétent d’invoquer l’intérêt général pour balayer l’avis de la population. Le but de la réforme: accélérer les procédures de délivrance des permis. Dans le même temps, l’avis de la Commission des Monuments et Sites ne serait plus contraignant. Lire l’article ci-joint
Article du journal Le Soir du 13 mars 2017