Premier atelier mobilité: les riverains… pas contents

Malgré une invitation « toutes boîtes » postée durant les vacances de Pâques et à peine une grosse semaine avant l’événement, plus de 40 personnes étaient présentes ce jeudi 21 avril à 18h30.  Et l’ambiance a tourné au vinaigre.

Cette première rencontre consistait à établir un double diagnostic sur la mobilité dans un rayon de 500 mètres autour du champ. L’un sur l’impact de la circulation et l’autre sur le calibrage des voiries.

Un comptage du trafic approximatif

L’étonnement des riverains a commencé par le constat qu’un seul appareil de comptage (deux câbles au sol) a été installé durant deux semaines avenue des Dames Blanches, au niveau du champ. Un comptage réalisé avant les vacances, mais durant la période de télétravail. Ce contrôle était « renforcé»  par trois comptages manuels à l’Orée, au coin Dames Blanches/Sainte-Alix et dans la montée des Dames Blanches vers l’avenue Baron d’Huart. Les habitants se sont étonnés que le jour de ces comptages manuels était un jeudi, et non le mercredi, jour de marché ou le dimanche, le jour de la messe la plus suivie. Soit deux jours pendant lesquels les parkings (Sainte-Alix et Vieux Quartier) sont combles. Les riverains du Vieux Quartier ont, par ailleurs, fait remarquer que le futur piétonnier (dans la continuation de la Place Dewandre) qui le connecterait au nouveau lotissement, accroîtrait le nombre de véhicules dans le quartier déjà saturé.   

Importantes lacunes

Bizarrement, l’étude de mobilité ne s’est pas intéressée au trafic de l’avenue du Tir aux Pigeons qui subit une circulation importante induite depuis (ou vers) l’avenue des Dames Blanches. 

L’étude ne s’est pas non plus penchée sur l’impact du trafic sur l’avenue d’Huart qui connaît pourtant la formation fréquente de files après 16H. Plusieurs représentants de la Commune de Kraainem, présents, ont regretté de ne pas avoir été consultés, alors qu’ils étaient présents à toutes les réunions précédentes.

Le trafic via les Quatre-Bras est d’ailleurs condamné à s’accroître, lorsque sera acquise la décision du démantèlement du viaduc Hermann-Debroux décidé par la Commune d’Auderghem.

Des parkings en suffisance ?

L’étude arrive à la conclusion que la disponibilité des places de parking est suffisante et pourrait encore aisément accueillir des véhicules supplémentaires. Ce qui a provoqué une réaction unanime de tous habitants du quartier Sainte-Alix, dont la plupart des rues (Crockaert, Van Crombrugghe, Van der Meerschen …) sont déjà saturées.

Avenue des Dames Blanches : « un bien à protéger » selon les Monuments et Sites

L’étude arrive aussi à la conclusion que le trafic de l’avenue des Dames Blanches (qui serait à moins de 200 véhicules par heure) est « relativement faible par rapport aux autres rues de Bruxelles ».  Les responsables de ces comptages reconnaissent pourtant que le gabarit de l’avenue des Dames Blanches est trop étroit et qu’un élargissement « serait possible ». Une option rejetée par tous les participants à « l’Atelier » Précisons que, lors de toutes les réunions auxquelles il a participé, le Bourgmestre Benoit Cerexhe a toujours déclaré que l’on n’élargirait pas l’avenue des Dames Blanches.  « La Cité des Dames Blanches » a été conçue par Louis Herman, figure marquante du mouvement moderniste. Un document en notre possession indique que cette citée « figure sur les listes des biens à protéger dressées par le Service des Monuments et sites ».

Transports publics insuffisants

La même étude constate que les transports publics sont peu présents dans un rayon de 10 minutes. Seul le bus 36 dont la fréquence est basse et la ponctualité déplorable est disponible à proximité. Pour atteindre l’arrêt du tram 44, il faut compter 10 minutes de marche. L’étude constate d’ailleurs que pour se rendre dans Bruxelles depuis l’avenue des Dames Blanches, la voiture est plus rapide que les transports en commun.

En conclusion, les participants se sont étonnés du manque de précision de l’étude (faute de temps ?) et attendent un recomptage plus crédible. Ils se sont aussi questionnés sur le timing de cet « Atelier » alors que rien n’est encore connu sur la quantité d’habitants (qui dépendra de la taille des logements) et du nombre d’accès au nouveau lotissement (2 selon le PPAS, mais 1 selon le nouveau projet qui renvoie tout le trafic vers l’avenue des Dames Blanches).

On ignore aussi l’accroissement de trafic induit par la crèche déjà prévue et par les participations aux activités récréatives envisagées. 

Petite précision finale, cette rencontre constituait le premier de quatre ateliers qui devaient se tenir, selon le planning décidé par la SLRB et la Commune, AVANT la fin mars. Pratiquement : deux ateliers Mobilité et deux ateliers Urbanisation. Les dates des 3 prochains ateliers ne sont pas connues. Nous avons insisté auprès de l’organisateur Citytools afin de prévenir les riverains dans des délais plus raisonnables.

100.000 habitants de plus dans moins de 50 ans

Selon le  dernier rapport du bureau du plan, En 2070, la Région de Bruxelles-Capitale comptera 100.000 habitants supplémentaires. Soit plus de deux fois la population de Woluwe Saint pierre… Avec le projet de bétonisation du champ des Dames Blanches, on est sur la bonne voie.

Il paraît que cela va rendre Bruxelles encore plus agréable.

Ecolo ne veut plus bétonner les champs en région bruxelloise… Sauf à Woluwe

Dans une interview publiée ce lundi 7 janvier dans le quotidien le Soir, Groen-Ecolo parle d’une « repriorisation » tenant compte  « des réalités du monde post-Covid ». Alain Maron et Elke Van den Brandt  invoquent l’urgence « de la transition écologique et de la verdurisation de Bruxelles ».

Et pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté, On peut encore lire que les verts « réaffirment leur volonté de protéger au maximum les espaces verts de la capitale.»  Selon l’article, c’est là que s’opposeraient les Verts et le PS. Notamment à propos de sites comme la Ferme du Chant des Cailles, à Watermael-Boitsfort, et la friche Josaphat, zone de 24 hectares à cheval sur Schaerbeek et Evere. « Il faut préserver l’intégrité du Chant des Cailles. C’est un projet exemplaire d’agriculture urbaine et de cohésion sociale», assure Alain Maron. Ecolo ne veut pas de construction au Chant des Cailles, et veut modifier le plan d’aménagement directeur (PAD) pour la friche Josaphat, écrit le Soir… « Ce sera notre ligne », appuie encore Alain Maron.

On comprendrait mal que cette « ligne » fortement revendiquée ne soit pas appliquée au Champ des Dames Blanches. Mais comme pour tous les partis de l’actuelle majorité de Woluwe-Saint-Pierre, le silence d’Ecolo est assourdissant. Olivier Deleuze, réveille-les, ils veulent bétonner l’un des tout derniers champs de la Région Bruxelloise.

Budget 2022: c’est parti pour la seconde phase de construction sur le champ des Dames Blanches dans 10 ans ?

Petit rappel: l’accord signé « en stoemelings » entre Woluwe-St-Pierre et la Région Bruxelloise, devait être « garanti » par l’achat d’une partie du terrain 15 ans après la construction de 200 logements sur le champ des Dames Blanches (prévu pour 2024). Premier problème : c’est la majorité qui sera en place en 2037 ( !?) qui « devra » racheter ce terrain. Or, comme chacun sait, nul ne peut engager une tierce partie dans un accord que cette dernière n’a pas signé. Pire encore, la Commune déclare qu’elle « provisionnera » cet achat durant 15 ans pour « permettre » à la future majorité de faire le bon choix. Déjà, personne ne connaît le nom du prochain bourgmestre, mais comme le révèle de manière chiffrée l’article de ce 23 janvier publié dans La Capitale, le budget de 2022 ne contient pas l’ombre d’un premier euro de provisionnement pour l’achat du champ. Aïe.

Le quotidien rapporte que selon le MR, parti d’opposition, « les dépenses de fonctionnement ont connu une augmentation de 32% en 6 ans. En revanche, on ne trouve pas trace, dans ce budget, de l’argent nécessaire pour le fameux provisionnement promis pour l’achat du terrain. Comment croire, dès lors, que les deux majorités qui se succéderont à partir de 2024 mettront la main au portefeuille (le nôtre) pour financer un projet qui n’est pas le leur.

Et comme «les emmerdes volent en escadrille » (Jacques Chirac), si la situation économique de la Commune continue à se détériorer, l’argent éventuellement «provisionné» pourrait servir à d’autres dépenses. Dès ce moment, la partie non construite du champ, lors de la première phase, pourra automatiquement l’être d’ici 10 ou 15 ans (200 ou 300 logements supplémentaires ?). Car la SLRB pourra reprendre la main après un délai de 6 mois de réflexion de la Commune.

Toujours selon La Capitale, rapportant les déclarations du MR, la Commune équilibrera le budget 2022 par la vente de biens immobiliers pour un montant de 1.765.000 euros. Si l’on en est vraiment à la vente des bijoux de famille de la Commune, il est clair que, jamais, aucun provisionnement ne sera jamais budgété. Et le terrain sera construit entièrement. CQFD.

Une nouvelle illustration de l’adage selon lequel «les promesses n’engagent que ceux qui y croient».

« Promenade participation » sur le champ des Dames Blanches: les constats.

La société Citytools qui gère le « processus de participation citoyenne » a organisé ce samedi 22 janvier trois « promenades » sur le champ des Dames Blanches. voici les sujets évoqués par moi-même et d’autres personnes présentes. Ils ont été communiqués aux organisateurs pour qu’ils les remettent aux gestionnaires du projet, dont la commune.

– L’absence totale de certitude sur la construction de la seconde zone du champ dans un délai de 15 ans (tout dépendra de la volonté d’une majorité communale que personne ne connaît). C’est la principale et essentielle faiblesse du projet. La découpe de la deuxième zone permettrait aisément, dans 15 ans, de construire 200 à 300 logements supplémentaires. La Commune doit prendre ses responsabilités et acheter le champ dès aujourd’hui.

– Le non-respect du PPAS : davantage de logements, suppression de l’une des voies d’accès qui va densifier le trafic dans l’avenue des Dames Blanches.- Risques pour la zone Natura 2000.

– Importante dénivellation entre une grande partie de l’avenue Jean-Baptiste Dumoulin et la « butte » du champ. Ce qui provoquera une vue très « indiscrète» sur les jardins et dans les habitations de la rue JB Dumoulin.

– Surprise des participants sur la volonté de « coller » tous les immeubles vers le vieux quartier.

– Crainte de l’impact de la bétonisation du terrain sur les fréquentes inondations constatées du côté de l’avenue des Dames Blanches.

– Accord favorable sur l’idée de créer, sur une partie du champ, une ferme urbaine qui permettrait, peut-être, d’accueillir des enfants et d’assurer une source d’alimentation locale, prônée depuis des mois par la Région bruxelloise. Pour autant que ce projet soit pérennisé au-delà de 15 ans.

– L’idée d’une crèche est bien accueillie, mais après examen du surplus de trafic important à prévoir (double entrée-sortie de véhicules, le matin et le soir).

-Désir de connaître le nombre d’habitants prévu par le projet.

– Dans l’optique d’une bonne mixité sociale et d’éviter les ghettos, il serait bon de répartir les logements sociaux sur l’ensemble des constructions, et non dans une sorte de «quartier réservé » qui relève d’un autre âge.

– Il faut aussi tenir compte de la tendance générale, dans la Région bruxelloise, à protéger les rares espaces verts encore disponibles.

Construire sur le champ des Dames Blanches ou rénover ? 200 logements sociaux sont vides

La société En Bord De Soignes, qui a fusionné les sociétés de logement social de Woluwe-Saint-Pierre, Auderghem et Watermael-Boitsfort a publié le nombre des « logements vides » du patrimoine géré. Plus de 200 !

Pas moins de 224 logements ne sont pas attribués, dont certains depuis plus de 15 ans. 224 logements, c’est bien plus que les 120 logements sociaux que prévoit le projet de construction sur le champ des Dames Blanches. Un calcul incompréhensible qui illustre une nouvelle fois que certains politiques préfèrent « poser la première pierre » d’une cité nouvelle que d’entretenir les constructions existantes. En l’occurrence, cette nouvelle « plaque commémorative » gravée au nom d’un Bourgmestre, d’une secrétaire d’Etat et du président de la SLRB coûterait bien cher en termes financiers, en termes d’environnement (la disparition d’un champ cultivé depuis toujours) et de bétonisation dans une zone fréquemment inondée. 

La promesse du Bourgmestre de ne pas dépasser 200 logements au total ne tient d’ailleurs pas debout, puisque l’une des zones non construite (dans un premier temps) pourrait accueillir 200 ou 300 autres logements après un moratoire de 10 ou 15 ans. Après cette date, la SLRB pourrait reprendre possession du terrain.

Pour éviter cela, la Commune pourrait acquérir le terrain dès maintenant pour le sanctuariser définitivement. Mais elle refuse et «promet» que la majorité communale de 2030  sera certainement prête, elle, à acquérir le terrain litigieux. Pour un prix qui n’est d’ailleurs connu de personne, pas même de la Commune. Question : vous vous êtes déjà engagé à acheter un produit dont vous ignorez le prix?

Dernier détail : la majorité actuelle prévoit de provisionner de l’argent pour un hypothétique achat dans 15 ans. Mais on apprend maintenant que le budget communal de 2022 n’a prévu aucun provisionnement de ce type. Décidément, ça commence mal.

Participez à la réunion sur le champ le 22 janvier

Peu de riverains le savent, mais la SLRB organise une « visite » du champ. Si vous voulez faire remonter vos idées et vos critiques, c’est le moment

• Quand? Le 22 janvier entre 14 et 16 heures
• Où? L’entrée du champ (Avenue des Dames Blanches à côté du 125)
• Inscription obligatoire à l’adresse suivante : sigried.kellens@citytools.be

Le champ des Dames Blanches… Et ailleurs

Non, le champ des Dames Blanches n’est pas un cas unique. Dans plusieurs communes, les riverains, soutenus (cette fois) par leur commune luttent pour protéger des champs ou des friches pour conserver quelques espaces verts dans une région bruxelloise limitée dans l’Espace, mais confrontées à une démographie galopante. Quelques exemples parmi d’autres…

Uccle : des futurs logements sociaux déjà les pieds dans l’eau (la DH)

La Société du Logement de la Région Bruxelles-Capitale (SLRB) vient d’acquérir une partie du terrain régional situé entre la rue Keyenbempt, la rue de l’Etoile et la rue du Melkriek à Uccle. La région souhaite y construire de nouveaux logements. La commune s’y oppose.

Le collège communal Ucclois s’y oppose.  “Oui aux logements sociaux » précise Maëlle de Brouwer, échevine à l’Environnement qui déclare pourtant ne pas comprendre le choix d’implantation. “Une partie de la zone et en aléa d’inondation nous sommes dans un espace d’intérêt biologique selon la carte de Bruxelles Environnement.”  Ce qui nous rappelle curieusement la situation du Champ Dames Blanches.

La commune devrait d’ailleurs lancer début 2022 une campagne participative d’observation de la biodiversité. “On sait qu’il y a des chauves-souris par exemple. Et certains riverains ont aperçu aux alentours du site des Lucanes cerfs-volants. Chez nous aussi, il existe des chauves-souris en lisière de la forêt. Et aucune étude (pourtant obligatoire) n’a encore eu lieu pour déterminer la biodiversité du champ et de son environnement. 

Watermael-Boitsfort : la commune se bat pour sauver le Chant des Cailles (LLB 21-12-2021)

Le bourgmestre Deleuze met sur pause le plan Chant des cailles. Le collège échevinal a décidé de suspendre l’élaboration du PPAS, qu’il avait lui-même lancé. Tout le monde (l’ASBL qui utilise le champ et la commune) résiste au projet de la SLRB et de la Région.

En ville, des arbres comme s’il en Pleuvait (Le soir 23-11-2021)

Pour des raisons climatiques et de santé, des villes plantent des arbres. C’est le cas partout en Europe, mais aussi en Région bruxelloise. Ainsi, la ville de Bruxelles a planté 200 arbres et offert 1000 arbres à ses habitants. Un plan baptisé Canopée et portant sur 10 ans (2020-30) prévoit la plantation de 2400 arbres. Pour sa part, Jette va planter une « micro-forêt » de 900 arbres, Forêt va faire de même avec 600 arbres.

Pour l’administration Régionale enfin, « il y a un réel enjeu de préservation des milieux ouverts (prairie, pelouses, etc.)»… « une des autres actions envisagées est de «désimperméabiliser la ville». Tout cela à de quoi nous interpeller.

Hippodrome de Boitsfort : des procédures sans fin (DH 20-12-2021)

L’hippodrome de Boitsfort est un terrain de 32 Hectares. Et ici aussi, tout le monde se bat pour protéger cette zone : les riverains, mais aussi Bruxelles Environnement qui, maintenant est impliqué dans le projet. Comme pour le champ des Dames Blanches, il s’agit d’une zone riche en biodiversité (la bordure du champ des DB est classée Natura 2000.)

Woluwe-ST-Pierre met la clé sous le paillasson

Autant de projets de construction (parfois anciens) contre lesquels se battent riverains, mais aussi élus communaux. Woluwe-Saint-Pierre fait ici cruellement exception, avec un projet qui ne respecte en aucun cas le PPAS, tant pour le nombre de logements que la démographie et le nombre de voiries. Mais la majorité s’est retirée du projet et ne défend plus le PPAS. C’est la SLRB et la Région qui dirigent tout désormais. Une première à Woluwe-Saint-Pierre. 

Invitation à la réunion le 29 novembre : le grand n’importe quoi

Il y a quelques jours, certains riverains des Dames Blanches  recevaient, dans leur boîte aux lettres, une invitation à participer à une réunion participative. Et tout était fait pour que le moins de monde se déplace. Notamment les personnes âgées.

Pourquoi faire simple, quand on peut faire compliqué ? Pour s’inscrire à la réunion, la Commune propose deux possibilités :

Soit envoyer sa demande par courrier postal. Ce que personne ne fait plus.

Soit cliquer sur un code QR. Durant deux jours, nous avons été accostés ou appelés par téléphone pour se plaindre que « ça ne marche pas ». Les moins familiarisés aux technologies IT étaient complètement oubliés.

Les auteurs du tract (la Commune de Woluwe-Saint-Pierre) très vite avertis du problème ont alors envoyé un mail aux seules personnes ayant participé à la première réunion. Cette fois, pour demander de s’inscrire via un lien fourni dans le mail. Et patatras, il faut pour cela disposer d’un compte Google. Rebelote, les riverains nous appellent ou viennent à notre domicile pour voir comment faire.

Voudrait-on éviter la cohue le 29 novembre que l’on ne s’en serait pas pris autrement. Si vous ne parvenez pas à vous inscrire à cause d’un problème technique, appelez le cabinet du Bourgmestre.