Refus du cabinet Dupuis de déplacer l'atelier...
Publié par thomas le Novembre 26 2007 00:00:00
Bonjour à tous les riverains du champ.
Voici les dernières nouvelles.
Et elles ne sont pas bonnes.

Contrairement à ce que nous espérions, il est difficile de parler de bonne coopération entre la Secrétaire d’Etat Françoise Dupuis et le comité de quartier.
Lire la suite...
Nouvelles étendues
Bonjour à tous les riverains du champ.
Voici les dernières nouvelles.
Et elles ne sont pas bonnes

Contrairement à ce que nous espérions, il est difficile de parler de bonne coopération entre la Secrétaire d’Etat Françoise Dupuis et le comité de quartier.

Les faits :

Mme Dupuis, lors d’une réunion organisée (le 20 novembre) de manière tellement discrète que nous avions dû distribuer des tracts dans 2000 boîtes aux lettres pour en avertir les riverains du champ, avait accepté de postposer son « atelier » du 27 novembre pour que nous puissions désigner un comité de quartier de manière démocratique.

Cet atelier est d’autant plus important qu’il réunit les architectes désignés par la Secrétaire d’Etat.

Le vendredi 23 novembre, nous avions réussi -difficilement- à trouver une salle capable de réunir les riverains au Centre communautaire de Joli-Bois pour le 5 décembre. Tout était donc parfait…

Non, car une heure après, nous apprenions que le Cabinet Dupuis, sans le moindre contact avec nous, avait déjà invité des personnes de son choix pour une réunion… le 4 décembre, soit un jour avant notre propre réunion de quartier !

Contact pris immédiatement, ce même vendredi 23 avec le Cabinet, nous avons demandé le report de la date de l’atelier de quelques jours. Après tout, le champ attend depuis tellement longtemps (1927), qu’il peut bien patienter une semaine de plus. Se disant étonné, le Cabinet propose de reprendre contact après le week-end : le lundi 26 novembre (aujourd’hui).

Ce lundi après-midi, la réponse vient du Cabinet : pas question de changer la date.
En outre, nous apprenons que le comité de quartier que nous voulons réunir aura, de toute manière, une représentation limitée, d’autres personnes ayant été désignées d’office et arbitrairement dès le vendredi 23.
Le cabinet nous propose 5 places. Pourquoi pas 1 ou 10 puisqu’il reconnaît ainsi, de fait, notre représentativité?

Oser déclarer, devant le public réuni de plus de 200 personnes, vouloir une représentation démocratique pour, ensuite, en empêcher la matérialisation est une procédure qui porte un nom: le cynisme.

Réfléchissez-y et n’hésitez pas à nous donner vos avis.